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Le mécanisme de retenue |
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Mise à jour Mars 2013 I) Arithmomètre de 1860 (T1860) Thomas reprend le principe général du mécanisme de retenue des T1856 et T1858, en y apportant quelques améliorations ! Ici, l'équerre de retenue a subi une cure d'amaigrissement et se retrouve collée contre la platine centrale de la cage. Sa forme commence à ressembler à ce qu'on aura l'habitude de voir sur les T1865 et sur les modèles Payen. Le levier a été également optimisé et prend moins de place. Pour le reste le principe est le même : au passage de 9 à 0 d'un des cadrans du totalisateur, un plot d'acier carré, placé sous le cadran, exerce une pression horizontale sur "l'équerre de retenue". Celle-ci pousse le levier qui fait bascule, ce qui provoque le déplacement de la dent de retenue et la met en prise avec la roue de retenue. Une roue conique, montée sur le même axe, transmet alors la retenue au totalisateur. En fin de rotation, une rampe hélicoïdale (Colimaçon) replace tout ce beau monde en position neutre.
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